samedi 19 septembre 2015

LOUIS   ALTHUSSER

(suite....)

 Louis Althusser - Lire le Capital /édit Maspero 1965


50° anniversaire de "Pour Marx" et "Lire le Capital"




                                Marc Solitaire : Louis Althusser - Huile sur bois & papiers collés /60 + 80 cm



 Marc Solitaire : Louis Althusser et l'Italie - Huile sur bois/ 60 + 80cm














 







Marc Solitaire : Louis Althusser - Huile sur bois/ 80cm + 60cm
 
 

samedi 12 septembre 2015

50°... Le Corbusier  (suite)




On se souvient de la municipalité zürichoise  (championne de la "gaypride"), renonçant à la fin de l'année 2011 -en cédant au chantage- à baptiser une place près de la gare centrale du nom d'un de ses compatriotes : Le Corbusier...
 
 
On saluera la ville de Moscou d'avoir eu l'attention cet Eté (Août 2015), en faisant fi des pitoyables polémiques de farfelus instrumentalisés, de dédier à cet architecte une statue au 39 de la rue Miasnitskaya ; face au Centrosoyuz !
(justement là, où en son temps, Le Corbusier avait essayé d'implanter une de ses sculptures)
 
 

 
 
 
L'œuvre d'Andréii Tyrtychnikov ne fera peut-être pas oublier le terrible "raté" du Concours pour le Palais de Soviets il y a plus d'un demi-siècle, ni ne s'inscrira sans doute pas au firmament de l'Art, mais dans sa modestie elle s'inscrit en tout cas contre le prétendu "dialogue interculturel" et le vrai maculage patrimonial que le Katastrophic Kapoor à cette même date répète -avec bénédictions de surcroît...- au Couvent Sainte-Marie de La Tourette (Eveux- sur-Arbresle).
 
A cet égard rappelons que si les propriétaires des lieux sont sans doute libres de faire ce qu'ils veulent (la chose vaut pour Buren sur la toit-terrasse de la Cité Radieuse), Le Corbusier pour sa part avait refusé sans appel ! à son grand ami F. Léger de réaliser des fresques dans ses bâtiments,... ne croyant en rien à ce mythe profond de "l'interdisciplinarité"...
 
Et son immense probité -celle qui, à la différence de bien de nos contemporains "high Tech", le faisait vivre et le vit mourir dans ce qu'il bâtissait- fut aussi de ne point chercher à briller en bâtissant à l'ombre de l'Acropole ou au pied de la Tour Eiffel... Et parce que les grands sites, très curieusement, on les lui refusera toujours, le sommet d'une colline perdue au fin fond de la France, une clairière abandonnée, un bout du Paris de la misère, un morceau de rocher en bord de mer sous une voie de chemin de fer... devaient lui suffir à écrire une des pages les plus nobles de l'histoire de l'Art :
 
"Hier, grande journée. C'était très beau... l'objet, la maison, est une des grandes œuvres de l'architecture (à n'importe quelle époque). C'est émouvant de jour et magique la nuit..."
                                                                                                                                                           Lettre à sa mère du 13-11-1952 cité dans Le Corbusier le Grand